Quand Fellini rêvait de Picasso
Federico Fellini n'a rencontré Pablo Picasso que dans ses rêves, mais cela suffit amplement à la Cinémathèque pour nous offrir une exposition à la fois originale et émouvante.
Federico Fellini n'a rencontré Pablo Picasso que dans ses rêves, mais cela suffit amplement à la Cinémathèque pour nous offrir une exposition à la fois originale et émouvante.
Il n'y aura plus jamais un autre Frank Sinatra, écrit Bret Easton Ellis dans "White", un essai décapant sur le post-Empire qui ne saurait laisser indifférent.
Warren Beatty en Don Juan du sèche-cheveux... Enfin édité en DVD, "Shampoo", de Hal Ashby, nous raconte surtout la gueule de bois du Nouvel Hollywood.
Des larmes de rire dans "Le Père Noël est une ordure", des larmes tout court dans "Le Grand Chemin" et "Le Petit Prince a dit"... Anémone était la fleur sauvage d'un cinéma français trop souvent fané.
L'énergie, les tensions et les bourdonnements à vif de Jérusalem à travers son tramway... Le nouveau film d'Amos Gitaï conjugue tendresse, lucidité et soif d'utopie.
Monstre sacré de la scène et du 7e art, Jean-Pierre Marielle, qui vient de nous quitter, était intarissable dés qu'on lui parlait jazz. Il avait publié en 2010 un fabuleux recueil de souvenirs...
Le Jihad est dans le pré, pour le meilleur et surtout pour le pire. Le nouveau film d'André Téchiné, "L'Adieu à la nuit", montre décidément à quel point l'univers du réalisateur ne se prête guère à certains sujets d'actualité.
Le dernier Godard mode d'emploi. Ou comment ce "livre d'image" -au singulier- peut retrouver formes -au pluriel.
Qui entretient le plus le mystère dans "Première campagne", d'Audrey Gordon? Emmanuel Macron, ou alors la jeune reporter de France 2 qui couvre ses meetings en renversant bien des idées reçues sur les journalistes politiques?
Le cru Jean-Christophe Grangé 2019 débarque sous la forme d'un thriller germanophobe, "La Dernière chasse". Son enquêteur tout rouillé parvient néanmoins à éveiller l'intérêt.
On se damnerait pour une "sorcière" comme Elodie Bouchez... Pour le reste, la relecture de la célèbre pièce d'Arthur Miller pêche par lourdeur malgré un très bel écrin scénographique.