Maya Angelou, une femme fantastique
"Ma grande aspiration, ma plus grande ambition, c’est d’être bonne. A un point que j’en suis fatigante au quotidien, parce que je veux être un être humain fantastique."
Ce matin, on se souvient de Maya Angelou, à l’occasion du 10e anniversaire de sa disparition. Chanteuse, danseuse, serveuse et même mère maquerelle, prête à tout pour pouvoir élever dignement son fils, qu’elle avait eu à 17 ans, cette femme extraordinaire avait l’étoffe d’une intellectuelle : elle a appris 6 langues, s’est instruite, est devenue écrivaine, poétesse, réalisatrice, conférencière, universitaire, prof à Yale et… s’est engagée, au contact de Martin Luther King et Malcolm X, toujours en quête de vérité et d’exigence. (à lire l'ouvrage inédit: « Chanter, swinguer, faire la bringue comme à Noël » traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Sika Fakambi, Ed. Notabilia)
On fête aussi les 80 ans aujourd'hui de Jean-Pierre Léaud, icône du cinéma français.
Et comme chaque mardi, on accueille Yaël Hirsch, du magazine en ligne Cult.news, qui nous parle ce atin du film "La belle de Gaza" et de la Nuit Blanche à Paris.