Le mal n'existe pas
La trajectoire toujours plus accomplie du réalisateur japonais de "Drive my car" intègre désormais une sublime et implacable pastorale aux textures hypnotiques.
La trajectoire toujours plus accomplie du réalisateur japonais de "Drive my car" intègre désormais une sublime et implacable pastorale aux textures hypnotiques.
Une fiction pour conclure le festival Cinéma du Réel, cela peut paraître singulier et pourtant, lorsqu'il filme Frantz Fanon soignant les patients algériens de l'hôpital psychiatrique de Blida, Abdenour Zahzah n'oublie jamais la vocation documentaire de son propos.