Take Five ou l’histoire du plus grand tube du jazz moderne. Pourtant, Paul Desmond n’y croyait pas plus que ça ! Pour lui, ce n’était qu’un morceau parmi d’autres. D'ailleurs, lorsque l’album sortit à la fin de l’année 59, il se fit dézinguer par la presse : "Avec son riff de piano répétitif, écrivait DownBeat, Take Five me fait penser au supplice chinois de la goutte d’eau" !