C’est l’histoire d’un film qu’on ne pourra jamais voir. Le 3e film que le réalisateur allemand Georg Wilhelm Pabst a tourné en 1929 autour de la liberté de la comédienne américaine Louise Brooks, avec un matériel ultra-moderne qui aurait dû permettre d’entendre pour la première fois la voix des comédiens. A l'affiche (qui n'aura jamais existé, les pellicules ayant été perdues avant même de pouvoir être visionnées), strong>Marlene Dietrich, qui est déjà une immense star, le compositeur Kurt Weil, mais aussi la chanteuse de jazz Adelaide Hall. Le scénariste Jean-Luc Cornette nous parle de cette semaine de tournage, à découvrir dans la BD co-signée avec le dessinateur Jürg, Le feu et la glace (Ed. Futuropolis).
Dans les Matins Jazz, on parle aussi des randonnées musicales du violoncelliste Eric Longsworth, et on parle d'art, de tourisme et jeux olympiques (ou pas) avec Clotilde Bednarek, du magazine d'art L'Œil.