Le cinéma déserte progressivement les Champs Elysées
La 77e édition du Festival de Cannes va inaugurer à partir du 15 mai une “Compétition Immersive”, qui va récompenser l’un des huit projets présentés : installations de réalité virtuelle collectives, expériences de réalité mixte et œuvres de vidéo mapping et holographiques. Parmi les projets sélectionnés, il y en a deux dont on vous a déjà parlé dans les Matins Jazz : “Noire”, tiré du livre de Tania de Montaigne, construit autour de l’histoire de Claudette Colvin, cette jeune Africaine Américaine qui, avant Rosa Parks, a refusé de quitter sa place dans un bus ségrégué du Sud des Etats-Unis. Et l’autre, c’est cette installation immersive en cours à la Cité de la Musique à Paris, qui s’intitule “En amour”, de Claire Bardainne et Adrien Mondot. C’est le saxophoniste Laurent Bardainne qui en a signé la musique et nous en parlait il y a quelques semaines dans les Matins Jazz.
Cinéma encore, on se fait une toile sur les Champs-Elysées, à l'occasion de la prochaine fermeture des salles de l'UGC-Normandie… C'est l'occasion pour nous de revenir sur le passé cinématographique des Champs-Elysées (et d'écouter quelques notes dela BO d'"Ascenseur pour l'échafaud").
On parle photo aussi, comme chaque mercredi, avec Dimitri Beck, de Polka Magazine, décrypte la photo de la semaine : Donald Trump à son procès.
Et enfin, on prend des nouvelles de notre jazzman cycliste préféré, David Aubaile, qui nous envoie une nouvelle carte postale sonore de son tour du Sud de la France à piano-vélo.