Duke Ellington, 50 ans après...
Le 24 mai 1974 disparaissait l'un des plus grands noms de la musique noire-américaine du 20ème siècle: Edward Kennedy Ellington, plus connu sous le nom de Duke.
On lui doit des centaines de thèmes dont beaucoup sont aujourd’hui encore des standards incontournables du répertoire des musiciens de jazz: Caravan, Perdido, Satin Doll ou encore Take The A Train.
Originaire de Washington, il part s’installer à Arrivé à New York en 1923 et monte son tout premier groupe « The Washingtonians ». En 1927 la carrière du jeune pianiste s’accélère lorsqu’on lui propose de reprendre la résidence de King Oliver au Cotton Club, l’un des hauts lieux de la vie nocturne du quartier de Harlem qui deviendra le repaire de quelques uns de plus grands noms du mouvement Harlem Renaissance dont Duke Ellington deviendra l’un des emblèmes.
Il y restera onze ans, signant en parallèle ses premiers contrats avec les maisons de disque, travaillant pour le cinéma tout en enchainant les tournées à travers les Etats Unis.
A l’occasion des 50 ans de sa disparition aujourd’hui, retour en musique et en live sur la carrière de l’un des musiciens les plus prolifiques de l’histoire, pianiste hors paire et dénicheur de talents qui aura vu passer dans ses rangs des solistes d’exception comme Cootie Williams, Clark Terry, Johnny Hodges ou encore Paul Gonsalves.
Duke Ellington live at Carnegie Hall 1944
- Suddenly it Jumped
- It Don't Mean a Thing
- Creole Love Call
Duke Ellington at Newport 1956
- Blues to be There
- Newport Up
- Jeep's Blues
Duke Ellington live in Berlin 1973
- Tap Dance
- Take the A Train
- Pitter Panther Patter
- Sophisticated Lady